Aurae – Exposition-expérience
Sabrina Ratté
Gaîté Lyrique
17 mars 2022 - 06 novembre 2022
Du 17 mars au 10 juillet, la Gaîté Lyrique présente Aurae, une “exposition-expérience” de l’artiste canadienne Sabrina Ratté !
À travers une série d’installations, de projections vidéo, d’animations, d’impressions, de photogrammétries, de sculptures et de dispositifs spatiaux, Sabrina Ratté invente des paysages charnels et des architectures rêvées, situées quelque part entre le monde physique et le monde virtuel.
Aurae emprunte son titre à l’une de ses premières œuvres vidéos aux couleurs lavées par le soleil (2012), mais aussi à l’étymologie du mot “aura”, qui indique un vent doux, un souffle, une atmosphère. Avec cette série d’œuvres empreintes de poésie et de science-fiction, Sabrina Ratté propose de redonner du relief aux images, de leur restituer une aura nouvelle à l’ère des technologies.
L’exposition prend la forme d’une traversée dans laquelle le visiteur ou la visiteuse devient acteur ou actrice de l’espace. Aurae se présente comme un grand ensemble d’architectures immersives et de paysages habités par une matière visuelle en mouvement, interrogeant la séparation physique entre deux réalités.
Commissariat : Jos Auzende
Plus d’informations
En partenariat avec le Centre Culturel Canadien à Paris.
Parallèlement à son exposition à la Gaîté Lyrique, venez découvrir Floralia III de Sabrina Ratté présentée au cœur de notre exposition collective Decision Making au Centre culturel canadien jusqu’au 15.04 !
Sabrina Ratté
Artiste canadienne basée entre Montréal et Marseille, Sabrina Ratté évolue à la frontière des arts plastiques, de la scénographie, de la performance et de la musique. L’exploration continuelle de nouvelles techniques nourrissent les thèmes qui traversent ses œuvres, notamment l’influence de l’architecture et du numérique sur notre perception du monde, ainsi que la relation que nous entretenons avec l’aspect virtuel de l’existence. Née en 1982 à Québec, Sabrina Ratté puise depuis une dizaine d’années dans les rapports entre réel et virtuel pour imaginer ses environnements, qu’elle travaille à partir de technologies analogiques et d’outils numériques, faisant de l’électricité sa matière première et de la vidéo sa substance malléable.